La douleur et la souffrance sont des signes offerts par ou pour votre corps pour vous permettre de vous perfectionner. C’est le signe que vous pouvez changer vos paramètres de vie, votre niveau de conscience.
Vous pouvez commencer par mettre une distance entre la douleur et le témoin de cette douleur, en cessant de s’identifier à l’état ressentit, pas en le fuyant par quelque procédé, seulement en l’acceptant profondément. Vous pouvez transcender la douleur, en la comprenant, en identifiant diverses causes qui y sont mêlées, pour vous réorganiser et expérimenter plus de plaisir, plus de soin, plus de bien être, plus de stabilité, plus d’équilibre, plus de perfection.
Inutile de blâmer l’autre, car l’autre est vous dans une autre vie, dans un autre espace temps, il faut au contraire trouver ce qui motive l’autre à être ainsi, et être dans une attitude de service, de compréhension, de compassion.
Inutile de blâmer le temps, la situation. Vous voyez ce que vous êtes. Vous percevez et évoluer dans le monde, vous êtes à la fois la totalité et le témoin de ce qui s’y passe. Si quelque chose vous fait souffrir, tâcher d’améliorer la contre partie chez vous, d’affiner le trait de caractère que vous voulez trouver chez les autres : la Patience, la Neutralité, la Chaleur humaine, la Dévotion, la présence.
Soyez parfait pour votre prochain, soyez la stabilité et l’équilibre. Prenez vos limites comme des marches, vos défauts comme un jeu à améliorer. Savourez chaque moment qui vous ait offert dans la vie.
Adoptez une position de gratitude face à la vie, plutôt qu’une attitude de victime, de fataliste. Soyez reconnaissant de pouvoir goûter tous les jours aux plaisirs de la vie : le plaisir de Respirer, de voir vos amis, de rencontrer de belles personnes, de faire quelque chose de bien et de désintéressée pour quelqu’un, de pouvoir transpirer, faire un effort qui vous rendra beau(belle) et saint.
Montrez que la vie est belle, souriez, pour le moins avec vos yeux, mieux avec votre coeur.
La vie est éternelle, les fleurs fânent, les mauvaises herbes poussent, le cycle de la vie s’opère, allez tranquille dans le flot de l’infini du temps.